Aujourd’hui, le principe de « portage salarial » est devenu une tendance en matière d’entreprise. Nombreux prestataires de services décident de se confier à une telle société pour mener à bien l’exécution de leurs projets. Cependant, ce système comporte des aléas dont il faut absolument connaître afin d’éviter les problèmes tiers. Dans le but d’informer donc les intéressés, voici un article inédit à propos du portage salarial et de ses caractéristiques.

Qu’est-ce que le portage salarial ?

D’après des sources informatives, le portage salarial est un mode d’activité entrepreneuriale qui regroupe trois entités distinctes. D’une part, il y a un client qui peut être un groupement privé ou public. Celui-ci confie du travail à une société de portage. Et d’autre part cette entreprise va utiliser un prestataire particulier pour réaliser lesdites tâches en contrepartie d’une part de la somme convenue avec le client. En outre, le sous-traitant doit répondre à des critères distincts comme la compétence, le savoir-faire et dans une certaine mesure, il faut également qu’il présente un degré de diplôme minimal.

Historiquement, ce concept est apparu à partir de la fin du 20ème siècle. C’est un certain B. « Kantorowicz », un docteur en droit très connu à l’époque qui l’a inventé pendant une assemblée de l’association d’entraide pour les cadres au chômage (AVARAP). À partir de 1985 donc, la notion était appliquée pour la première fois en France. Cependant, ce n’est qu’après une quinzaine d’années qu’elle a été légalisée et notamment admise dans le code du travail en juin 2008. Beaucoup de compagnies l’appliquent aujourd’hui et il est facile de trouver une agence de portage salarial, telle que ad’missions, dans presque toutes les villes de la France.

Quelles sont les caractéristiques d’un tel système ?

Le portage salarial présente plusieurs avantages. En premier lieu, il permet de devenir un salarié indépendant. Cela s’explique par l’initiative de travailler en son propre compte et de gérer un projet particulier pour bénéficier du statut de salarié. À la différence du « freelance » ou de l’auto-entreprise, ce type d’entrepreneuriat est plus onéreux lorsqu’il s’agit d’investir, mais il offre, en contrepartie, un rendement des plus avantageux. De plus, le sous-traitant peut aussi travailler librement avec ses propres résolutions avec l’aide des équipements délivrés par la société.

À côté de ces privilèges, il existe également quelques points dont il faut prendre en compte dans le but d’éviter les mauvaises surprises. Tout d’abord, lors du recrutement du travailleur, il est important de s’assurer de ses capacités pour garantir la qualité de la production. Par ailleurs, il faut aussi disposer de certaines qualités de gérance afin de parvenir à un résultat probant. En dernier lieu, il est aussi nécessaire de marier ce travail avec un autre type d’activité puisque le portage ne perdure pas longtemps contrairement au statut du fonctionnaire.