Internet a donné une nouvelle dimension au commerce puisque tout le monde peut désormais faire ses courses en ligne. Pour les vendeurs, cette situation n’est pas forcément plaisante. Effectivement, de plus en plus d’entrepreneurs se lancent dans l’e-commerce. Ainsi, il devient plus difficile de capter l’attention des acheteurs. Aujourd’hui, les e-commerçants pourront attirer de nouveaux clients grâce au cashback.

L’e-commerce : un secteur très concurrentiel

Vendre sur internet n’est pas une mince affaire. Effectivement, plusieurs échoppes virtuelles vendent des produits similaires. En outre, les différences de prix sont souvent négligeables. Les sites e-commerce les mieux positionnés sur les moteurs de recherche seront toujours les plus populaires. À ce titre, les boutiques en ligne récemment créées seront bien moins attractives que les plateformes réputées. Pour compenser leur manque de visibilité, les nouveaux arrivants doivent user de différentes techniques. Généralement, les e-commerçants ont recours aux optimisations SEO ou aux campagnes Google Ads. Quelques vendeurs optent aussi pour le marketing d’affiliation. Cette approche vise à multiplier les points de contact avec les acheteurs potentiels.

Cependant, toutes ces stratégies présentent un inconvénient majeur. Elles n’offrent aucun bénéfice palpable aux consommateurs contrairement au cashback. Ce système vise à fidéliser la clientèle en la rémunérant. C’est une technique marketing efficace. Toutefois, elle requiert l’intervention d’un cashbacker. Ce dernier gère une communauté d’acheteurs et collabore avec de nombreuses échoppes virtuelles. Tel est le cas du réseau Lyoness. Il va jouer le rôle d’intermédiaire entre l’e-commerçant et les internautes.

Comprendre le fonctionnement du cashback

Pour les acheteurs, le cashback permet de recevoir un remboursement pour chacun de ses achats en ligne. Pour un e-commerçant, c’est la meilleure solution pour faire la promotion de son activité. Le cashback est toutefois bien plus complexe qu’on ne le pense. Effectivement, le vendeur ne procède pas directement à la rétrocession. Il s’appuie sur l’intervention du cashbacker. Ce dernier va promouvoir les produits des boutiques partenaires. En contrepartie, il aura droit à une commission en fonction du montant dépensé par chaque client redirigé. Il va ensuite reverser une partie de ses gains à l’internaute et c’est de là que viennent les remboursements. En somme, le succès de l’opération dépend de la popularité du site de cashback. Il faut donc choisir judicieusement sa plateforme.

Les e-commerçants doivent orienter leur choix en fonction du coût d’acquisition de la clientèle. En outre, il est également nécessaire de se pencher sur les formules proposées par le cashbacker. Quelques-uns ont élaboré un programme de fidélisation assez bien conçu. Le taux de remboursement va augmenter au fil des achats et les acheteurs ont droit à des shoppings points. Ce sont des devises virtuelles que l’on peut dépenser auprès des boutiques partenaires. Avant de commencer la collaboration, il est vivement conseillé de se renseigner sur la durée d’attente avant le déploiement du système.